Pour signifier votre participation ou comprendre de quoi il s'agit
http://www.earthhour.fr/
Ne sousestimez pas l'impact et l'influence d'une telle action, la pression de l'opinion publique est la plus efficace et la plus rapide pour initier ou amplifier un changement de mentalité, et de stratégie économique.
En participant et relayant massivement cette action, nous enverrons un message puissant pour signifier que notre soucis ne se limite pas à focaliser uniquement sur une crise financière, mais aussi que nous voulons que la priorité de toute action politique et économique, ne soit plus l'argent mais l'homme....une petite révolution quoi...que nos hommes dirigeants ont bien du mal à intégrer...
cf métaphore "la révolution copernicienne" par jfkhan
écoutez les 90 premieres secondes sur :
http://www.radiofrance.fr/franceinter/em/septdix/index.php?id=76819
rappel historique :
Nicolas Copernic était un astronome polonais qui a mis fin à la croyance selon laquelle la terre était le centre de l’univers.
La découverte de Copernic a marqué un tournant dans la manière dont les humains percevaient la planète sur laquelle ils vivaient – et vivent toujours. Mais aujourd’hui, plus que jamais, notre planète et notre situation en tant qu’humains sont menacées par le réchauffement climatique.
Les discussions sur le climat doivent marquer un tournant dans les négociations internationales. C’est un événement-clé dans la création d’un successeur au Protocole de Kyoto. Les délégations, qui viennent du monde entier, devront cesser de traîner des pieds et complètement passer en mode négociation. Pour le bien des gens, et pour celui de la planète, il n’y a plus de temps à perdre.
Jusqu’à maintenant, leurs progrès visant à limiter le réchauffement climatique (à moins de 2 °C d’augmentation) ont été loin d’être suffisants.
Leurs efforts respectifs pour réduire les émissions doivent se baser sur leurs responsabilités historiques pour avoir provoqué la crise, et leurs capacités à l’affronter.
Lorsqu’il s’agit du futur de notre planète, l’argent n’est qu’une partie de l’effort nécessaire.
Les pays qui émettent le plus de carbone doivent maintenant commencer par réduire leurs émissions le plus vite possible, et aussi aider les personnes les plus pauvres et vulnérables à s’adapter aux efforts inévitables d’une crise dont ils ne sont pas responsables.
Il ne reste pas beaucoup de temps. Le prix à payer pour l’inaction de nos dirigeants est énorme. Il est temps d'amplifier le mouvement afin qu’un accord équitable soit signé à Copenhague en décembre 2009. C’est l’enjeu de ces discussions difficiles. Et c’est pour cela que nous devons nous battre ainsi que des millions de personnes vulnérables dans le monde.
Espérons que les rencontres d'ici copenhague, sur le climat marqueront un tournant, tout comme le travail de l’astronome polonais il y a 5 siècles.
http://www.earthhour.fr/
Ne sousestimez pas l'impact et l'influence d'une telle action, la pression de l'opinion publique est la plus efficace et la plus rapide pour initier ou amplifier un changement de mentalité, et de stratégie économique.
En participant et relayant massivement cette action, nous enverrons un message puissant pour signifier que notre soucis ne se limite pas à focaliser uniquement sur une crise financière, mais aussi que nous voulons que la priorité de toute action politique et économique, ne soit plus l'argent mais l'homme....une petite révolution quoi...que nos hommes dirigeants ont bien du mal à intégrer...
cf métaphore "la révolution copernicienne" par jfkhan
écoutez les 90 premieres secondes sur :
http://www.radiofrance.fr/franceinter/em/septdix/index.php?id=76819
rappel historique :
Nicolas Copernic était un astronome polonais qui a mis fin à la croyance selon laquelle la terre était le centre de l’univers.
La découverte de Copernic a marqué un tournant dans la manière dont les humains percevaient la planète sur laquelle ils vivaient – et vivent toujours. Mais aujourd’hui, plus que jamais, notre planète et notre situation en tant qu’humains sont menacées par le réchauffement climatique.
Les discussions sur le climat doivent marquer un tournant dans les négociations internationales. C’est un événement-clé dans la création d’un successeur au Protocole de Kyoto. Les délégations, qui viennent du monde entier, devront cesser de traîner des pieds et complètement passer en mode négociation. Pour le bien des gens, et pour celui de la planète, il n’y a plus de temps à perdre.
Jusqu’à maintenant, leurs progrès visant à limiter le réchauffement climatique (à moins de 2 °C d’augmentation) ont été loin d’être suffisants.
Leurs efforts respectifs pour réduire les émissions doivent se baser sur leurs responsabilités historiques pour avoir provoqué la crise, et leurs capacités à l’affronter.
Lorsqu’il s’agit du futur de notre planète, l’argent n’est qu’une partie de l’effort nécessaire.
Les pays qui émettent le plus de carbone doivent maintenant commencer par réduire leurs émissions le plus vite possible, et aussi aider les personnes les plus pauvres et vulnérables à s’adapter aux efforts inévitables d’une crise dont ils ne sont pas responsables.
Il ne reste pas beaucoup de temps. Le prix à payer pour l’inaction de nos dirigeants est énorme. Il est temps d'amplifier le mouvement afin qu’un accord équitable soit signé à Copenhague en décembre 2009. C’est l’enjeu de ces discussions difficiles. Et c’est pour cela que nous devons nous battre ainsi que des millions de personnes vulnérables dans le monde.
Espérons que les rencontres d'ici copenhague, sur le climat marqueront un tournant, tout comme le travail de l’astronome polonais il y a 5 siècles.